La religion est le pire ennemi de la transition énergétique

En regardant des gens jouer au babington, je me suis dit que le plaisir de l’homme passait par la maîtrise des éléments. On prend plaisir à taper dans une balla car on aime la sensation de maitriser sa trajectoire. L’idée de se surpasser. Et cela se retrouve partout. On a toujours cherché en tous temps à nous dépasser, à apprivoiser, à comprendre et à nous adapter. C’est pour cela que nous sommes le plus grand prédateur sur terre.

Dès lors, pourquoi n’agissons-nous pas de la sorte quand il s’agit de sauver notre planète ? On agit si peu comparé à notre capacité à agir. Pourquoi, au fond, ne nous sentons-nous pas concerné par cette cause qui pourtant est primordial pour la survie de l’humanité ?

Ma réflexion est que la survie de notre planète nous renvoie à ce que nous ne pouvons maîtriser et à cette énorme frustration qui est que nous sommes si peu  de chose dans ce vaste univers. La religion a toujours été une sorte de voile à toutes ces questions existentielles et dont la réponse scientifique nous effraie tant. Croire en Dieu, c’est oublier que nous ne sommes rien. Dieu est le placebo du volteface de la nature face à notre mégalomanie, à notre soif de contrôle.

Nous ne pourrons jamais dépasser l’au-delà alors à quoi bon le sauvegarder. Tout cela est évidemment inconscient mais le peu de réaction de la nature humaine face à cette problématiques se trouve peut-être ici. Dans …

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Dans une dimension lointaine, où les étoiles étaient des grains de sable et les planètes des bulles de savon cosmiques, se dressaient les Monolithes. Ces colosses de pierre, aussi hauts que des montagnes, étaient bien plus que de simples roches. Ils étaient des êtres conscients, capables de ressentir les émotions les plus profondes.

Chaque Monolithe avait une couleur unique, correspondant à une émotion primaire : le Rouge pour la colère, le Bleu pour la tristesse, le Vert pour la joie, le Jaune pour la peur. Et ils communiquaient entre eux, non pas par la parole, mais par des larmes.

Lorsqu’un événement bouleversait l’univers, les Monolithes pleuraient. Le Rouge versait des larmes de feu, le Bleu des torrents d’eau cristalline, le Vert des gouttes de lumière éblouissante et le Jaune des flots d’or liquide. Ces larmes, en se mélangeant, créaient des arcs-en-ciel cosmiques qui traversaient la dimension, apaisant les tourments et rééquilibrant les énergies.

Il arriva un jour qu’une grande tristesse envahit l’univers. Le Monolithe Bleu, le plus grand et le plus ancien, commença à pleurer sans s’arrêter. Ses larmes, en inondant la dimension, éteignirent les étoiles et refroidirent les planètes. Les autres Monolithes, inquiets, se rassemblèrent autour de lui. Le Rouge, dans un geste inattendu, versa quelques larmes de feu sur les larmes du Bleu. La chaleur du feu évapora une partie de l’eau, créant un épais brouillard. Au cœur de ce brouillard, une petite étincelle apparut, puis une flamme, puis une étoile. Le Vert, en voyant cela, se mit à pleurer de joie, ses larmes nourrissant la nouvelle étoile.

Ainsi, grâce à l’union de leurs émotions, les Monolithes avaient surmonté la tristesse et redonné vie à l’univers. Et depuis ce jour, ils continuent de pleurer, de rire, de trembler et de briller, ensemble, dans l’immensité du cosmos.