Le plus beau voyage, c’est celui qu’on n’a pas encore fait.

Loïck Peyron

« Un voyage se mesure mieux en amis qu’en miles. » – Tim Cahill

Le voyageur voit ce qu’il voit, les touristes voient ce qu’ils sont venus voir » – G.K. Chesterton

Une destination n’est jamais un lieu, mais une nouvelle façon de voir les choses » – Henry Miller

« Nous ne voyageons pas pour échapper à la vie, mais pour que la vie ne nous échappe pas. » – Anonyme

« Les touristes ignorent où ils sont allés, les voyageurs ignorent où ils vont. » – Paul Theroux

« Un voyage est la seule chose qui s’achète et vous rend plus riche. » – Anonyme

« Si vous ne savez pas où vous allez, n’importe quel chemin vous y mènera. » – Lewis Carroll

« Plus je vais loin, plus je me rapproche de moi-même. » – Andrew McCarthy

« Le plus important, ce n’est pas la destination, mais les mésaventures et les souvenirs que l’on crée le long du chemin. » – Penelope Riley

« Si vous trouvez l’aventure dangereuse, essayez la routine, elle est mortelle. » – Paulo Coelho

« Le plus beau voyage d’ici-bas, c’est celui qu’on fait l’un vers l’autre. » –  Paul M​orand

« On voyage autour du monde à la recherche de quelque chose et on rentre chez soi pour le trouver. » – George Moore

« Chaque voyage est le rêve d’une nouvelle naissance. » – Jean Royer

« L’imagination nous permet un voyage à travers cette empreinte « temps-espace » pour métamorphoser la fiction en réalité. » – Mofaddel Abderrahim

« Le voyage n’éloigne que celui qui oublie. » – Gilbert Choulet

« Le plus beau voyage, c’est celui qu’on n’a pas encore fait. » – Loïck Peyron

« Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. » – Marcel Proust​

« Le poète voyage toute sa vie sans toucher terre, les mots, c’est son atmosphère. » – Josiane Coeijmans

« Se souvenir des bons moments passés entre amis, est le plus beau voyage que l’on puisse faire.​ » – Anonyme​

About

Dans une dimension lointaine, où les étoiles étaient des grains de sable et les planètes des bulles de savon cosmiques, se dressaient les Monolithes. Ces colosses de pierre, aussi hauts que des montagnes, étaient bien plus que de simples roches. Ils étaient des êtres conscients, capables de ressentir les émotions les plus profondes.

Chaque Monolithe avait une couleur unique, correspondant à une émotion primaire : le Rouge pour la colère, le Bleu pour la tristesse, le Vert pour la joie, le Jaune pour la peur. Et ils communiquaient entre eux, non pas par la parole, mais par des larmes.

Lorsqu’un événement bouleversait l’univers, les Monolithes pleuraient. Le Rouge versait des larmes de feu, le Bleu des torrents d’eau cristalline, le Vert des gouttes de lumière éblouissante et le Jaune des flots d’or liquide. Ces larmes, en se mélangeant, créaient des arcs-en-ciel cosmiques qui traversaient la dimension, apaisant les tourments et rééquilibrant les énergies.

Il arriva un jour qu’une grande tristesse envahit l’univers. Le Monolithe Bleu, le plus grand et le plus ancien, commença à pleurer sans s’arrêter. Ses larmes, en inondant la dimension, éteignirent les étoiles et refroidirent les planètes. Les autres Monolithes, inquiets, se rassemblèrent autour de lui. Le Rouge, dans un geste inattendu, versa quelques larmes de feu sur les larmes du Bleu. La chaleur du feu évapora une partie de l’eau, créant un épais brouillard. Au cœur de ce brouillard, une petite étincelle apparut, puis une flamme, puis une étoile. Le Vert, en voyant cela, se mit à pleurer de joie, ses larmes nourrissant la nouvelle étoile.

Ainsi, grâce à l’union de leurs émotions, les Monolithes avaient surmonté la tristesse et redonné vie à l’univers. Et depuis ce jour, ils continuent de pleurer, de rire, de trembler et de briller, ensemble, dans l’immensité du cosmos.